La Fondation Vodacom dans l’exécution de son prestigieux programme annuel « 12 élans de coeur », s’investie, après lancement officiel intervenu dernièrement, à la concrétisation de sa campagne d’inclusion visant à autonomiser les femmes vivant avec handicap. Ces dernières reçoivent des cabines Vodacom avec un capital pour asseoir leur business, sous l’encadrement de Vodacom et ses partenaires.
Pour Madame Pamela Ilunga, Directrice Générale Adjointe de Vodacom Congo, le programme « JE SUIS CAP » est l’une des initiatives phares du pilier inclusion de la Fondation Vodacom. Par ce projet, Vodacom vise l’insertion sociale et économique des femmes vivant avec handicap, dans le but de leur permettre de contribuer au bien-être de leurs proches, ainsi qu’au développement de leurs communautés.

A travers ce partenariat avec la Société VISA et le Ministère des PVH & APV, poursuit-elle, nous matérialisons notre mission qui consiste à connecter tout le monde pour un meilleur futur.
« JE SUIS CAP », faisant référence à la capacité dont possède chaque être humain, a le privilège de confronter les femmes entre elles.
Les femmes en situation d’handicap bénéficient du savoir et de l’encadrement d’autres femmes, qui sont preneuses de décision, pour un résultat escompté. Car, à en croire Madame Sophie Kafuti, Directeur – Pays de VISA en RDC, là où les femmes sont économiquement impliquées, les communautés prospèrent. VISA apporte de sa part, outre la sensibilisation, le partage de son expertise pour souligner le potentiel économique et la contribution en Afrique des micros et des petites entreprises détenues par les femmes.

Il faut retenir que VISA est engagée à placer des femmes au coeur de sa stratégie en les aidant à développer leurs entreprises dans le secteur qui est le sien, à savoir, les paiements numériques.
La Ministre déléguée en charge des PVH, exhorte quant à elle les parties engagées dans cette campagne à s’y investir pour que le succès soit total.

» Nous voulons qu’à la fin de cette campagne, nous n’ayons plus de femmes vivant avec handicap qui se retrouvent dans la rue pour mendier mais des femmes autonomes, capables de prendre les autres en charge », a martelé Me Irène Essambo.
Eveline Badika