Les rideaux des assises de l’école des sciences de la population et du développement en collaboration avec les fonds des nations pour la population, (UNFPA), sont tombés le jeudi 07 décembre à l’Université de Kinshasa, à la faculté de médecine.
Pour la deuxième journée, il y a eu l’intervention du professeur José Mangalu sur la numération du service de l’état civil, intérêt pour les gouvernants, pour la population et pour les chercheurs.
Quand au professeur Jacques Emina, directeur général de cette école, il a fait son exposé sur le systèmes d’informations démographique en RDC, un outil de gouvernance et de gestion des conflits.
Le but de ces sessions était de former des ressources humaines de qualité, capable de contribuer efficacement à la résolution des questions de population et développement qui se posent en RDC et en Afrique de Grands lacs, y compris dans les entités territoriales décentralisées; réaliser des analyses prospectives et recherches de qualité pour informer les politiques, programmes et projets de développement sur les plans local, provincial, national et régional.
Les résultats
Importance d’investir dans la capitale humaine, gratuité de l’enseignement doit être effective, encourager les femmes, le fait de disposer d’un revenu propre est une condition nécessaire pour promouvoir l’autonomie des femmes.
Pour rappel, ces assises ont connu la participation du directeur général de l’ESPD, Emina Jacques, du DG de l’ONIP, Richard Ilunga et du représentant de l’UNFPA Eugène Kongnyuy.
Mercisse Mayangila/LRP