Les passants qui font régulièrement la route de Matadi kibala ne cessent de se plaindre des embouteillages monstrueux que connaît chaque jour cette artère de la commune de Mont Ngafula, située dans la périphérie de Kinshasa.
En effet, ce tronçon routier très sollicitée par les usagers de la route est un casse tête pour les habitants de coin de la capitale surtout pendant les heures de pointe.
L’une des raisons expliquant ces embouteillages interminables est le stationnement des véhicules de part et d’autres de la route où des camions poids lourds bombés de marchandises font aussi irruption à tout moment.
Également des marchés pirates parsemés le long de cette route contraignent même des véhicules des particuliers de s’y stationner à l’improviste pendant des heures.
Pour des élèves et étudiants obligés d’emprunter la route de Matadi Kibala pour atteindre leur destination, c’est un gasouljage de temps qui les poussent à être souvent en retard à leurs institutions d’enseignement.
« Je suis étudiante et j’arrive toujours en retard parce que la plupart de temps je suis bloquée à cause des embouteillages sur cette route… », s’était plaint Mutombo, étudiante en Deuxième graduat à l’UPN.
Et d’ajouter que les choses deviendraient sans doute normales si et seulement ces marchés pirates n’existent plus !
Une opinion s’étonne des partes en vies humaines et des dégâts matériels considérables enregistrés ste cette route n’ont jamais servi de leçon de ne plus revenir sur ces marchés piratés.
« Même après que certains aient perdu la vie, rien ne leur aurait servi de leçon », s’est étonné un vieux Jacques, la quatre-vingtaine révolue.
Et de renchérir qu’il serait mieux de leur construire un marché officier libre dans lequel ils vont vendre à toute sécurité
De tout ce qui précède, le gouvernement congolais doit veiller à ce que ces usagers de la route aient suffisamment des espaces pour permettre une circulation rapide.
Aussi, des marchés officiels douvevt être construits pour ne plus exploser la population à un risque irréparable.
Virginie ANKIBA/ UCC