Un diplômé est une personne qui a obtenu un diplôme ou une certification d’un établissement d’enseignement, comme une université ou une école, à la suite de la réussite d’un programme d’études spécifique. Cela indique qu’il a suivi une formation académique ou professionnelle dans un domaine particulier.
Un intellectuel, en revanche, est généralement associé à une personne qui excelle dans la réflexion, la critique, la créativité et la production d’idées. Un intellectuel peut être diplômé, mais le terme ne se limite pas à l’éducation formelle. Les intellectuels sont souvent engagés dans la réflexion sur des questions sociales, politiques, culturelles, artistiques ou philosophiques, et ils influencent souvent le débat public par leurs analyses et leurs idées.
En résumé, un diplômé est une personne qui a obtenu un diplôme, tandis qu’un intellectuel est une personne engagée dans la réflexion, la critique et la création d’idées, qu’elle soit ou non diplômée. Un individu peut être à la fois un diplômé et un intellectuel, mais les deux termes ne sont pas interchangeables.
Alain Foka né le 22 juillet 1964 à Douala, est un journaliste, producteur et Tchad. Avant d’être journaliste, Foka est issu d’une lignée de riches propriétaires terriens à la tête de plusieurs exploitations agricoles.
Passionné par l’histoire et la culture, à l’age de 6 ans, il rêve de devenir journaliste. À 51 ans, ce fils de policier camerounais fourmille de projets : la création d’un magazine télé sur une chaîne internationale.
Alain Foka est diplômé entre autres de la prestigieuse école Sciences Politiques de Paris, du Centre de Formation des Journalistes (CFJ)
Il est le journaliste camerounais le plus célèbre, l’une des voix mythique de Radio France Internationale, Foka est membre du Rassemblement démocratique du peuple camerou- nais (RDPC)
Il a consacré près de trente années à RFI, marquant de son empreinte de nombreuses émissions à succès.
Dans sa propre page Facebook, le journaliste avait annoncé qu’il quittait la Radio mondiale la fin du mois d’octobre tout en soulignant qu’il ne quitterait pas complétement le Monde des médias. Une nouvelle qui avait pris de court ses nombreux auditeurs de la RFI.
Foka a tenu au moins à souligné que cette démission de RFI n’était qu’une transition vers une nouvelle phase de sa carrière et qu’il aspirait désormais à une plus grande vulgarisation de la pensée, du projet, de la Vision africaine dans un monde en profonde mutation.
Philippe Dephill Lipo