Un enfant vivant avec handicap âgé de 6 ans est décédé le samedi 04 mai 2024 après que sa propre mère l’ait jeté dans une rivière infestée de crocodile
Alertée, la police qui avait mené des recherches sur le lieu du crime, retrouvé le corps sans vie de l’enfant le lendemain du drame et les deux parents ont été interpellés.
A en croire ‘ Time of lndia ‘ la presse locale qui relaye l’information, le drame s’est produit dans le district de Utthara Kanada situé dans le Sud est de l’inde.
Cet événement malheureux est arrivé suite à une violente dispute ayant opposé la meurtrière avec son mari à sujet de l’handicap de leur enfant. Une confrontation qui ne serait pas la première entre les deux parents du défunt enfant.
A en croire des témoignages, dans la soirée du samedi, Ravi Kummar, 26 ans aurait reproché de la plus mauvaise manière à sa femme, Savitri Kumar d’une année plus que lui d’avoir mis au monde un enfant vivant handicap.
Bouleversée profondément par ces propos accusateurs répétitifs de son mari, Salviati aurait tout simplement décidé cette fois-ci de mettre fin à l’existence de leur enfant handicapée au sein de leur foyer.
C’est ainsi qu’elle se serait décidée de le lancer dans un canal d’évacuation qui se jette dans la rivière Kali, infestée de crocodiles.
D’après les autorités locales, l’enfant jeté dans la rivière remplie de crocodiles présentait de sérieuses blessures, des traces de morsures avec une main manquante.
La dépouille du petit garçon a été envoyée à la morgue afin de déterminer avec exactitudes les circonstances du décès.
En effet, dans plusieurs sociétés humaines du monde, les femmes sont souvent accusées à tort d’être responsables d’un cas d’handicap ou d’albinisme d’un être humain.
Peut être c’est parce que c’est elle qui porte la grossesse et qui, au temps fixé, accouche…
En Afrique traditionnelle, la surdité, la Cécile, l’épilepsie, l’hémophilie, l’anémie SS, l’hémiplégie ou encore l’albinisme d’un enfant sont souvent au centre des confrontations entre les deux conjoints.
Curieusement, c’est toujours la femme qui perd le jugement tenu par des anciens sous l’arbre à palabres.
Philippe Dephill Lipo