Certains choux gras médiatiques téléguidés et publiés pour une affaire qui ne pouvait constituer un dossier judiciaire, tant sa genèse telle que vécue et racontée, laisse pantois même les apprenants en Droit.
Les publications téléguidées par un maladroit foncier, Ali Ibrahim Hammoud dont on dit recherché d’ailleurs par la Justice congolaise, sont passées à côté de la plaque et ne sauront pas trouver du répondant. Parce que truffées de mensonge, mijotées par des mains inexpertes et inappropriées en Droit ; qui se sont amusées, sans foi ni loi, à manipuler la presse pour citer nommément une Ministre en fonction, alors qu’ils oublient qu’ils s’exposent à des poursuites, conformément au Code de Déontologie qui régit leur profession.
Bien plus, citer le nom de quelqu’un qui n’est de près ni de loin dans ce dossier concernant deux frères. Mais que Ali Ibrahim fait écrire aux médias que M. Rachid El Chaer serait mêlé dans ce dossier. Encore des faussetés.
En effet, par leur correspondance n°111/JKM/08/2024 du 04 septembre 2024, cette bande conduite par Ali Ibrahim Hammoud, a tenté d’influencer la ministre d’Etat, ministre des Affaires Foncières, Acacia Badunbola, dans le but de s’attirer sa sympathie dans un dossier que la Justice congolaise a pourtant bien mis ses manettes avec une impartialité claire qu’explicite, dans la mesure où le jugement sous RP13810 rendu par le Tribunal de paix Lubumbashi/Katuba, condamnant le nommé Ali Ibrahim Hammoud à 12 mois de servitude pénale principale et ayant ordonné la destruction les certificats d’enregistrement faux que ce dernier s’était fait obtenir partant des actes de cession faux, profitant de l’absence de son grand frère Mohamad Ibrahim Hammoud, au pays.
Bien que ce jugement, est à ce jour exécuté et coulé en force de chose jugée, la meute de Ali Ibrahim Hammoud s’offre éperdument à induire les autorités en erreur, jusqu’à les pousser à prendre des décisions contraires à la constitution, tel est le cas du ministère des Affaires Foncières ; pour lequel l’unique moyen d’y remédiés consiste à saisir le conseil d’Etat conformément aux lois de la République.
L’on se demande, si la meute de M. Ali Ibrahim Hammoud a assimilé les dispositions de l’article 19 de la Constitution, avant le traitement et la publication de leur article dans certains médias de la place.
Mis au pilori devant ce jugement devenu inattaquable, Ali Ibrahim Hammoud, venu en République Démocratique du Congo en 1999 sans ressources, s’est permis d’aller attaquer, par des voies « boutiquées » et non légales le RP/13810, un jugement pourtant inattaquable dans sa forme que dans son fond. N’ayant trouvé gain de cause, ils reviennent à la charge en cherchant à abuser de l’honneur de Mme la ministre d’Etat, ministre des Affaires Foncières, Acacia Badunbola, qu’il croit induire en erreur. Cette attitude démontre qu’il existe encore des marchands de vent qui s’obstinent à ne pas obtempérer aux Lois du Pays.
La bande à Ali Ibrahim Hammoud, qu’on ne sait plus taire le nom, se compte donc dans le pré carré de ceux qui militent pour des sales besognes afin de salir la réputation de la Justice congolaise.
C’est pourquoi, Mohamad Ibrahim Hammoud, alias « Momo », dit ne plus leur permettre de revenir offrir d’autres choux médiatiques truffés de mensonges et de contre-vérités, la vérité étant têtue. Il a décidé de rétablir la vérité dans cette affaire, ayant foi avérée à la Justice congolaise à travers les faits précis et concis.
La raison de la saisie du Conseil d’Etat
Face à l’imposture de M. Ali et sa bande d’aller troubler la quiétude au Ministère des Affaires foncières, Mohamad Ibrahim Hammoud a saisi le Conseil d’Etat en référé-liberté en vue de rendre nuls, les effets du courrier sous le n°0153/CAB.MN-ETAT/AF-FONC/ABM/YAM/fmn/2024 du 02/08/2024 et celui n°441/SG/AFF-FONC/00736/BJK/2024 du 06/08/2024 émis par le Secrétaire général aux Affaires Foncières.
Contrairement aux allégations du sieur Ali Ibrahim Hammoud et sa bande d’escrocs qui prétendent que la saisine du Conseil d’Etat vise à narguer la Ministre d’Etat, Ministres des Affaires Foncières, Mohamad Ibrahim Hammoud n’a jamais eu l’intention de s’attaquer à la Ministre des Affaires foncières connue pour son équité, son honnêteté, sa franchise et son sens élevé de responsabilité.
Mohamad Ibrahim Hammoud a suivi la procédure qu’on appelle en Droit « référé-liberté ». Même les apprenants en Droit savent que cette procédure n’est juste qu’une précaution pour empêcher au sieur Ali Ibrahim Hammoud de se prévaloir de la lettre de Mme la Ministre des Affaires foncières qu’il a obtenue d’une manière malhonnête, indigne, tronquée et maligne.
Des sources précisent qu’au niveau du Cabinet du Ministre des Affaires foncières où Mohamad Ibrahim Hammoud est allé déposer le dossier y afférant, il a été agréablement surpris de trouver certaines pièces et informations que Ali Ibrahim Hammoud a cachées pour tromper la bonne foi de la ministre d’Etat.
Devant cette violation de la Loi, Mohamad Ibrahim Hammoud a recouru au référé-liberté qui l’autorise à suivre cette procédure, pour autant qu’il a exprimé des doutes sérieux quant à la légalité des documents et autres pièces déposés au Cabinet de la Ministre des Affaires Foncières. Pièces qui pouvaient entrainer des craintes réelles sur la décision à advenir dans ce litige, devant le juge administratif qui n’est rien d’autre que le Cabinet du Ministre des Affaires Foncières. Mais comme dit ci-haut, connaissant l’équité, la probité morale et l’honneur de l’actuel Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières, M. Ali Mohamad Ibrahim Hammoud et son Conseil espèrent qu’après les éléments fournis aux membres de son Cabinet, Mme la Ministre reviendrait sur sa décision. Ainsi, il n’est donc pas question à Mohamad Ibrahim Hammoud de s’attaquer à Mme la Ministre d’Etat, Ministre des Affaires Foncières.
En définitive, tous les articles de presse commandités et publiés ces derniers temps ne visent qu’à peindre les méfaits de Sieur Ali Ibrahim Hammoud, un citoyen sans honneur, réputé pour ses magouilles, spécialiste en désinformation et prêt à pactiser avec l’escroquerie qui est son dada naturel.
D’ailleurs, il est temps de le relever et de le révéler ici que Ali Ibrahim Hammoud est recherché par la Justice congolaise pour des faits avérés lui reprochés antérieurement. C’est pour cela qu’il n’ose plus fouler le sol congolais, préférant manipuler les médias à distance pour exposer celui qu’on appelle affectueusement Momo au mépris et tenter de le dépouiller de ses immeubles en induisant les Autorités congolaises en erreur.
Bien plus, contrairement à ce qu’il raconte dans ses articles téléguidés, Ali Ibrahim Hammoud a la réputation de désinformer le public, parce qu’il prétend qu’il a des entrées dans la haute sphère politique que judiciaire ; il entretiendrait des relations poussées même au niveau de la Famille présidentielle qui l’aiderait actuellement à s’allier à tous les faux et usage de faux en utilisant le trafic d’influence ; comme cela a été le cas avec celle utilisée pour obtenir le fameux faux jugement de Likasi fricoté de la manière que l’on sait.
Mais comme nul crime n’est parfait, le jugement en question a, malheureusement, connu beaucoup d’erreurs dans le fond que sur la forme. N’ayant saisi la portée de sa forfaiture que tard, il recourt maintenant aux médias pour distiller des fausses informations contre la personne de Mohammad Ibrahim Hammoud, celui-là même qui l’avait accueilli à bras ouverts en République Démocratique du Congo en 1999, espérant voir la patronne des Affaires foncières lui fermer les portes. Ainsi, l’opinion de s’interroger : « que vient faire Rachid El Chaer dans ce dossier ? Si c’est de la mauvaise foi de citer quelqu’un, à travers les médias dans l’intention de nuire à sa personne ».
LRP