Les points de vue sur une probable révision ou changement de la Constitution de la République Démocratique du Congo ne cessent d’être formulés par diverses personnalités du monde politique, économique et religieux congolais, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur du pays.
Les acteurs appartenant aux différentes organisations de la société civile ne sont pas restés de côté, alors que les opinions formulées par les uns sont souvent balayées d’un revers de main par les autres.
De leur côté, les personnes vivant avec un handicap et d’autres personnes vulnérables se sont prononcées ouvertement en faveur d’une révision ou d’un changement de la constitution.
Le ministre délégué de tutelle, Maître Irène Esambo Diata, l’avait fait connaître de vive voix aux autres membres du gouvernement de la République lors du conseil des ministres qui a eu lieu le vendredi 22 novembre 2024 sous la direction du chef de l’État, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo.
Irène Esambo avait indiqué que, dans le cadre de la célébration de la journée internationale des personnes vivant avec un handicap, le thème national choisi est « Révision constitutionnelle et autres réformes institutionnelles : impact et perspectives sur l’inclusion sociale des personnes vivant avec un handicap ».
Elle a ensuite indiqué qu’une réflexion nationale sera lancée à cet effet et que des propositions y relatives seront faites le jour de la célébration du 3 décembre.
Il sied de noter qu’au niveau international, cette journée des personnes vivant avec un handicap sera célébrée sous le thème : « Un monde plus inclusif, j’embarque ! »
Philippe Dephill Lipo
D’après moi, je trouve qu’il serait mieux de mettre en jour cette constitution car avec les Congolais pendant le premier mandat, ils peuvent bien travailler arrivé au deuxième mandat ils ne savent quoi faire et cela surtout notre inclusion de personnes avec un handicap. Mais notre regret est que cette inclusion est plus avantageux aux gens de grandes villes et nous souffrons ici à Aru sans pouvoir connaître cette inclusion sociale. Nous demandons à Son Excellente Me Irène, de connaître tous les coins du pays, Aru n’est pas à Ouganda plutôt à RDC.